POURQUOI PARTICIPER à INTERNATIONAL WEEK ?
#s'informer # échanger #networker #s'interroger
Patrick Démots, Dirigeant de MicroMécanique, Fabrication d’outillage en carbure de tungstène et usinage de très haute précision de matériaux techniques
« Lors de l’édition 2019 de l’International Week, j’ai été lauréat du challenge « Bâtir son plan d’actions export en un jour ». Cela m’avait aidé à structurer ma démarche. Depuis, la crise mondiale est venue chahuter notre projet à l’export… mais pas tant que ça. J’avais ciblé prioritairement la Suisse pour développer le marché de l’horlogerie-bijouterie haut de gamme. Et si le principal salon professionnel dans le domaine, à Genève, a naturellement été annulé, le marché suisse n’a pas été immédiatement impacté par la crise. Cela nous a permis de réaliser un bon chiffre d’affaires à l’export, même si nous n’avons pas pu déployer notre plan comme prévu. Un état de fait qui conforte notre stratégie de diversification géographique. Sans cela, nous aurions été très mal en 2020. Aujourd’hui, nous devons trouver d’autres façons d’approcher les prospects puisque les salons sont annulés, d’autres façons de collaborer puisque les déplacements sont compliqués, mais plus que jamais, il ne faut pas s’enfermer chez soi. Il faut trouver de nouveaux territoires pour générer de nouveaux business. En ce sens, je ne peux que recommander de participer à l’International Week ; c’est une excellente façon de sortir de chez soi et d’exposer son projet pour en voir les forces et les failles. »
Raphaël Pomares,Co-dirigeant de 3D at home, Développement d’applications 3D, salons virtuels et solutions d’événementiels digitalisés
« En 2010, nous avons développé une plateforme digitale pour permettre des événements virtuels. Jusqu’en 2019, nous avons connu une belle progression. Face à nous sur le marché, nous avions un seul concurrent français. Tous les autres étaient étrangers et nous parvenions à remporter des projets face à eux. Nous y avons vu le signe d’une possibilité de développement à l’international. Nous nous sommes rapprochés de la Team France Export à la CCI, pour sortir de notre stratégie d’opportunités et enclencher une vraie démarche, vers le Canada en priorité, puis vers les Etats-Unis. Lors de l’International Week, nous avons rencontré une société spécialisée qui aide les entreprises françaises à s’implanter au Canada. Depuis, nous avançons avec elle, pour adapter notre offre et notre marketing au marché canadien, trouver des partenaires et des prospects.
Avec la crise sanitaire, notre business a explosé. Nous sommes passés d’une présence dans 5 pays à 13 et nous avons dépassé nos objectifs. L’enjeu pour nous désormais est de nous structurer pour répondre à la demande. Cet accompagnement nous a permis de réaliser que travailler en France uniquement revenait à se restreindre à sa salle de bain alors que la maison est grande et qu’il y a même un jardin ! Nous avons été bousculés, challengés et nous avons pris conscience que nous n’avions rien à perdre. La prise de risques est infime tant il existe de dispositifs d’aides et d’accompagnements, surtout dans notre région. Il y a tout à y gagner, c’est sûr !
Un salon dématérialisé : un concept qui fonctionne